samedi 30 juillet 2011

L'été en poésie

LA FOURMI
Robert Desnos

Une fourmi de dix-huit mètres
Avec un chapeau sur la tête,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi traînant un char
Plein de pingouins et de canards,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi parlant français,
Parlant latin et javanais,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Eh! pourquoi pas?

jeudi 28 juillet 2011

Tire-lire : Les voisins musiciens

Une rencontre musicale

Dans un immeuble un petit garçon découvre par la fenêtre que l’appartement d’à coté est à vendre. Il attend accoudé à la balustrade, quand soudain la pancarte est retirée.
Pour accueillir ce nouveaux voisin, il monte sur une chaise et joue du violon. La petite voisine finit par lui répondre en jouant un air de piano.
Un dialogue musical entre les deux enfants s’installe.

Un très bel album sans texte. Au fur et à mesure de l’histoire, les images, en noirs et blancs, se colorent au rythme du duo.

Les voisins musiciens
Junko shibuya
Autrement
A partir de 3 ans
                                 
                                                                

mardi 26 juillet 2011

Marianne Barcilon en images

En février, au cours de notre quinzaine des livres pour les tout-petits, nous avons reçu Marianne Barcilon pour une journée de rencontre avec les classes et de dédicaces. Elle a dessiné et fait dessiner les enfants. Une belle journée.




dimanche 24 juillet 2011

L'été en poésie

Îles
Extrait de feuilles de route de Blaise Cendrars

Îles
Îles
Îles
Îles où l'on ne prendra jamais terre
Îles où l'on ne descendra jamais
Îles couvertes de végétations
Îles tapies comme des jaguars
Îles muettes
Îles immobiles
Îles inoubliables et sans nom
Je lance mes chaussures par-dessus bord car je voudrais
        Bien aller jusqu'à vous.
                                           
                                               

vendredi 22 juillet 2011

Tire-lire : L’heure rouge

Une petite souris prénommée Mine a rendez-vous avec son ami le loup sous le pommier sauvage. Le soleil se couche et les ombres se font menaçantes… mais Mine n’a pas peur, malgré les avertissements de l’hirondelle. Et en effet, elle a raison de ne pas avoir peur, car les deux amis se retrouvent pour jouer avec leurs ombres et le soleil. Tantôt lapin, tantôt chouette, mais aussi licorne, les deux amis s’en donnent à cœur joie jusqu’à ce que le soleil ait disparu et qu’ils se quittent en se donnant rendez-vous le lendemain…

Un album très bel sur l’amitié.

Le texte est poétique et agréable à lire, avec un peu de suspense au début quand on ne sait pas pourquoi les deux animaux doivent se retrouver. Les illustrations d’Antoine Guilloppé sont magnifiques et très colorées, le jeu des ombres est très bien réalisé, c’est un vrai bonheur.


L’heure rouge
Marie-Astrid Bailly-Maître, Antoine Guilloppé
L’élan vert
A partir de 3 ans
                                         
                                                           

mercredi 20 juillet 2011

Rencontre avec Cécile Roumiguière

Cécile Roumiguière nous parle de son métier d’écrivain

Ce qui intéresse Cécile, c’est d’inventer des histoires.
Elle nous dit lors de la rencontre qu’elle aurait pu écrire des chansons, des pièces de théâtre ou autres.
Enfant, elle voulait être chanteuse, puis jockey, avocate, architecte, psychanalyste, mais en fait, deux métiers permettent d’être tout cela : acteur et/ou écrivain.  Quand elle était petite, Cécile lisait beaucoup et de tout : la sélection du Reader digest, le magazine Nous deux, Alexandre Dumas, Honoré de Balzac, le dictionnaire, etc.
Elle a écrit 14 livres au total. Elle n’a pas de livre préféré parmi les siens, elle a une bonne raison de les aimer tous, à chacun la sienne. Il faut entre 3 semaines et 3 mois à Cécile pour écrire un texte, cela dépend si c’est un album ou un roman. Pour L’enfant silence, il lui a fallu peu de temps (quelques heures), car elle portait le texte en elle depuis longtemps, du coup le texte a émergé plus vite. Cela reste très rare.
Les livres de Cécile partent d’une idée, d’un tableau ou d’une photo. Ensuite elle s’appuie sur des choses qu’elle connaît, Ses livres sont donc un mélange d’imaginaire et de réalité.
Parfois, dans deux de ses livres, il y a des passages qui se font échos, les histoires peuvent aussi se croiser. Par exemple Pablo de la Courneuve et Demain la lune, le passage où quelque chose passe entre les jambes du héros…

Projet en cours :


La saison de 4 des Blue Cerise va sortir début 2012.
Cécile projette d’écrire un roman cet été.
Et enfin, un roman illustré sortira fin aout chez Flammarion sur le thème des gitans, le titre sera "Dans les yeux d'Angel".

Des précisions sur certains de ces livres

Talam : Romans écrits à 4 mains, qu’il faut lire dans l’ordre, c’est un feuilleton, pour les plus jeunes lecteurs.
Quand son fils est né, elle à découvert les albums de Nadja et Solotareff, c’est à ce moment là que l’envie est née d’écrire des textes pour la jeunesse. De plus, elle voulait changer de métier car celui qu’elle faisait précédemment lui prenait beaucoup de temps hors de chez elle. Elle travaillait dans le milieu du spectacle et l’envie de travailler en équipe à fait naitre le projet des Blue Cerises, pour lequel 4 auteurs se sont réunis pour écrire un volume chacun.

Blue Cerise : le principe innovant des Blue Cerises, c'est que ce sont des nouvelles croisées, qu'on peut lire justement dans l'ordre qu'on veut (en respectant seulement l'ordre des saisons, mais pas d'ordre dans les personnages). Elle a réuni l'équipe des quatre auteurs autour des Blue Cerises, Talam est venu après, la série est écrite par les même quatre auteurs.

Rouge Bala : thème du mariage des jeunes filles de 12 ans en Inde. Le but était de dénoncer ces mariages de jeunes filles trop jeunes.

Le voyage de Poéma : Le thème de la jalousie entre frères et sœurs.

Le secret du soir : Un jour, une éditrice a demandé une histoire d’ami imaginaire. Après réflexion, Cécile a pensé à son fils qui avait un secret le soir, Cécile a pensé que peut-être c’était un dragon, ce secret…
          
Pablo de la Courneuve : Cécile a travaillé 6 mois à La Courneuve, un jour, elle a fait une visite de quartier, en fait, le début du livre correspond à la réalité qu’a vécu Cécile ce jour-là.
L’idée du livre est partie d’enfants qui couraient dans la cour d’une maison.
Cécile a repris le chemin de l’école, elle fait une formation de scénariste.

lundi 18 juillet 2011

L'été en poésie

 Prière d’un petit enfant noir

Guy Tirolien


Seigneur, je ne veux plus aller à leur école

Seigneur je suis très fatigué.

Je suis né fatigué

et j’ai beaucoup marché depuis le chant du coq

et le morne est bien haut qui mène à leur école

Seigneur, je ne veux plus aller à leur école,

faites, je vous en prie, que je n’y aille plus.

Je veux suivre mon père dans les ravines fraîches

quand la nuit flotte encore dans le mystère des bois

où glissent les esprits que l’aube vient chasser

Je veux aller pieds nus par les rouges sentiers

que cuisent les flammes de midi,

je veux dormir ma sieste au pied des lourds manguiers,

je veux me réveiller

lorsque là-bas mugit la sirène des blancs

Et que l’usine

Sur l’océan des cannes

comme un bateau ancré

vomit dans la campagne son équipage nègre…

Seigneur, je ne veux plus aller à leur école,

Faites, je vous en prie, que je n’y aille plus.

Ils racontent qu’il faut qu’un petit nègre y aille

pour qu’il devienne pareil

aux messieurs de la ville

aux messieurs comme il faut

Mais moi je ne veux pas

devenir, comme ils disent,

un monsieur de la ville,

un monsieur comme il faut.

Je préfère flâner le long des sucreries

Où sont les sacs repus

que gonfle un sucre brun autant que ma peau brune.

Je préfère vers l’heure où la lune amoureuse

parle bas à l’oreille des cocotiers penchés

écouter ce que dit dans la nuit

La voix cassée d’un vieux qui raconte en fumant

les histoires de Zamba et de compère Lapin

et bien d’autres choses encore

qui ne sont pas dans les livres.

Les nègres, vous le savez, n’ont que trop travaillé.

Pourquoi faut-il de plus apprendre dans les livres

qui parlent de choses qui ne sont point d’ici ?

Et puis elle est vraiment trop triste leur école,

triste comme

ces messieurs de la ville,

ces messieurs comme il faut

qui ne savent plus danser le soir au clair de lune

qui ne savent plus marcher sur la chair de leurs pieds

qui ne savent plus conter les contes aux veillées.

Seigneur, je ne veux plus aller à leur école.
                                                               
                                                                         

samedi 16 juillet 2011

Tire-lire : Au galop, les mots

 A cheval et en chanson

« Petit cheval tambourin s’est levé de bon matin
Picoti, picotin…. »
Un très beau recueil de poèmes et comptines autour de la thématique du cheval.
Un livre magnifiquement illustré par Martine Bourre comme elle sait si bien le faire à partir de matériaux de récupérations

On connaissait la petite comptine « pirouette cacahuète » . Là elle nous propose « courbette, pirouette »
A découvrir et partager pour tous les amoureux des mots et des chevaux.

Au galop, les mots
Martine Bourre
Rue du monde
Petite enfance
                                                                                                             
                                                         

jeudi 14 juillet 2011

Guillaume Guéraud en images

Guillaume Guéraud est venu sur le réseau le 24 mai dernier. Voici quelques photos des rencontres et de la dédicace avec les classes.


              
  

mardi 12 juillet 2011

L'été en poésie

 le Papillon
Extrait de feuilles de route de Blaise Cendrars

C'est curieux
Depuis deux jours que nous sommes en vue des terres
            aucun oiseau n'est venu à notre rencontre
            ou se mettre dans notre sillage

Par contre
Aujourd'hui
A l'aube
Comme nous pénétrions dans la baie de Rio
Un papillon grand comme la main est venu virevoleter tout
             autour du paquebot

Il était noir et jaune avec de grandes stries d'un bleu déteint
                                                                               
                                                                      

dimanche 10 juillet 2011

Tire-lire : L'amour dure plus qu'une vie

"Je l'ai tuée une fois et je suis mort pour elle plusieurs fois"

En terminale, Lucy est attirée par le taciturne Daniel. Mais celui-ci lui affirme qu'ils se connaissent depuis toujours, qu'ils se sont déjà aimés, qu'ils sont destinés l'un à l'autre. Lucy prend peur et s'enfuit.
Les années suivantes, Daniel  attend le meilleur moment possible pour aborder de nouveau Lucy. Il se souvient de  ses nombreuses vies précédentes et de ses rencontres avec la femme qu'il aime.
De son coté, Lucy part à l'université. Mais plusieurs détails lui font penser que Daniel avait peut-être raison.

Une très belle histoire d'amour avec le thème de la réincarnation en toile de fond. Au fil des siècles, nos deux héros se croisent, se ratent, s'aiment... La construction en flashback du roman apporte un rythme très vivant et plonge le lecteur dans 2000 ans d'histoire.
On retrouve avec plaisir la plume d'Ann Brashares, auteur de Quatre filles et un jean

L'amour dure plus qu'une vie
Ann Brashares
Gallimard
A partir de 12 ans
                                                                                                         
                                                       

samedi 9 juillet 2011

Les coups de coeur jeunesse



Les coups de cœur jeunesse sont en ligne. 
Nous avons sélectionné parmi les tire-lire, nos livres préférés, les plus marquants et les avons réunis. 
Vous les trouverez sur le site des médiathèques du réseau Les Portes de l'Essonne.
                   
                             
                                                                                                                                                                                                       

vendredi 8 juillet 2011

Marie Desplechin en images

Cette année, nous avons reçu Marie Desplechin pour deux matinées de rencontres à la bibliothèque du Val et à la médiathèque Raymond Queneau.
Voici quelques photos de ces rencontres

mercredi 6 juillet 2011

L'été en poésie

Docilité 

Jules Supervielle


La forêt dit : "C'est toujours moi la sacrifiée,
On me harcèle, on me traverse, on me brise à coups de hache,
On me cherche noise(1), on me tourmente sans raison,
On me lance des oiseaux à la tête ou des fourmis dans les jambes,
Et l'on me grave des noms auxquels je ne puis m'attacher.
Ah ! On ne le sait que trop que je ne puis me défendre
Comme un cheval qu'on agace ou la vache mécontente.
Et pourtant je fais toujours ce qu'on m'avait dit de faire.
On m'ordonna : "Prenez racine." Et je donnai de la racine tant que je pus.
"Faites de l'ombre." Et j'en fis autant qu'il était raisonnable.
"Cessez d'en donner l'hiver." Je perdis mes feuilles jusqu'à la dernière.
Mois par mois et jour par jour je sais bien ce que je dois faire,
Voilà longtemps qu'on n'a plus besoin de me commander.
Alors pourquoi ces bûcherons qui s'en viennent au pas cadencé ?
Que l'on me dise ce qu'on attend de moi, et je le ferai,
Qu'on me réponde par un nuage ou quelque signe dans le ciel,
Je ne suis pas une révoltée, je ne cherche querelle à personne.
Mais il semble tout de même que l'on pourrait bien me répondre
Lorsque le vent qui se lève fait de moi une questionneuse."

lundi 4 juillet 2011

Un abécédaire animé




Connaissez-vous ABC, l'abécédaire de Marion Bataille ? C'est un livre d'artiste. La médiathèque Raymond Queneau a travaillé sur cet album, il y a plusieurs années. A cette occasion, Marion Bataille avait réalisé une version grand format qui avait été exposée.

Il existe 30 livres auto édités, c'est à dire réalisés par l'auteur lui même. La médiathèque Raymond Queneau en possède un.

Voici une vidéo qui met en scène la manipulation de cet album :



Cet album a ensuite été imprimé de manière plus traditionnelle. Il est donc présent sur l'ensemble des bibliothèques du réseau. Mais pour feuilleter un livre d'artiste, c'est à Raymond Queneau qu'il faut se rendre.
               

samedi 2 juillet 2011

Lire Anne Jonas

Le 30 mai, Anne Jonas a rencontré plusieurs classes. Parmi elle, la classe de CM1 de M. Santoni de l'école de Saint Exupéry à Athis-Mons.
Les enfants ont donné leurs impressions de lecture.

Le roi et le mangeur de nuages ça m’a vraiment plu.
J'aime bien quand le géant mange les nuages comme une brochette.
Binta


Dans Là -bas-tout au fond du dessin, j'aime bien la phrase « dans ma poche il y a quelques billes froides ».
Larissa


J'ai bien aimé le Grand méchant poulet car on dirait le monde à l'envers.
C'est dommage que la fin ne soit pas une fin définitive.
Ismaël


J’ai beaucoup aimé  Zhao l'enfant peintre et Là -bas-tout au fond du dessin.
Dans Zhao j'ai aimé le don qu'avait Zhao, ce livre est magique.
Et dans  là -bas tout au fond du dessin vous mettez en  scène la solitude et l'imagination.
Emma


Tibert et Romuald
J’aime bien l’histoire d’un chat qui rencontre une souris.

Prince et  dragon
Ce qui ma touché c’est quand le prince offre un cadeau au dragon parce qu’il l’a aidé à sauver la reine.

Nils Holgersson
J’ai adoré l’histoire de Nils qui rencontre une oie.
Ils font des voyages magnifiques ensemble.
Samy


J'ai aimé le grand méchant poulet quand les animaux ont pris les dents du grand méchant poulet. Après le loup a mis les dents et il est devenu méchant.

J’ai aimé Prince et dragon quand le fils du prince et le dragon ne s'entretuent pas.

Fatoumata


Sur la couverture Tristan et Iseult ressemblent à Adam et Eve.

Le grand méchant poulet : j’ai remarqué que le titre le grand méchant poulet avait un rapport avec l'expression quand les poules auront des dents.

Félicien


Tibert et Romuald.

J'ai beaucoup aimé que le chat et la souris soient amis. J’aime que le livre parle et raconte des histoires. Le livre est drôle. Puis c'est très créatif.

Sara


Mon livre préféré est «  les Vikings » car ce qui me plait c'est le fait d'avoir mis le documentaire sous forme d'une BD pour les plus jeunes. Et en plus les BD sont géniales.

Liam


Moi ce que j'ai aimé c'est Prince et Dragon. Je l'ai aimé parce que le dragon ne veut pas tuer le prince et le prince ne veut pas tuer le dragon.

Jilani


J'ai bien aimé le Grand méchant Poulet car c'est bien marrant et très inventif. Le grand méchant poulet a des dents, et les poulets n'ont pas de dents. Et  le  loup n'en n’a pas. Ce qui est moins marrant c'est quand le poulet n'a plus de dents car il ne peut plus faire peur dans  la forêt.  

Thomas


J' ai  aimé l'  histoire  du  grand   méchant  poulet  car  c' était  drôle  de  voir  un  poulet  avec  des  dents  et  le  loup  sans.
Il m'a  surpris  car  dans  les  contes  c'est  toujours  le  loup  qui  est  terrifiant .

J' ai  aimé  mille  ans  de  contes  parce  qu' il  y  a  de  nombreux  contes  tous différents  et  drôles . 

Elodie


Dans  Tibert  et  Romuald  j' ai  adoré quand  Tibert  dit à Romuald  «  lis  moi  une  histoire ».

Dans les trois plumes j’ai bien aimé la chanson des grenouilles,  et quand le troisième fils demande des objets à  la grenouille.

Dans Zhao l’enfant peintre, j’ai bien aimé quand le tigre prend vie.

Angèle


J'ai bien aimé 1000 ans de contes et les changements de pays à chaque histoire.

Florian



Prince et Dragon
J'ai bien aimé le dragon et le prince parce qu’ils ne veulent pas se tuer. Le prince veut une princesse
et le dragon un trésor.

Esteban.


J'ai aimé mille ans de contes parce qu'il y a beaucoup de contes avec de l'humour. Et le grand  méchant  poulet parce que les illustrations sont belles et puis c'est drôle de voir un poulet avec des dents alors que d'habitude c'est le loup.

Hugo


Le grand méchant poulet
J'ai bien aimé ce livre car ça paraît inimaginable d'être au temps où les poules avaient des dents.

Alice.


J'ai aimé le livre Le roi et le mangeur de nuages « parce que le roi est appelé «  trois fois trois neuf.» Et c'est drôle car le roi dans les illustrations ressemble à Napoléon.

Flora.



Contes d'amour
J'ai aimé ce livre parce que c'était assez drôle. Ce qui m'a surpris c'est qu'il n'y a presque que des princes et des princesses.

Le grand méchant Poulet
J'ai adoré ce livre par ce que c'est vraiment drôle. C’est assez bizarre de voir un poulet avec des dents

Stéphane



Ce que j'aime dans le livre le grand méchant poulet, c'est que les illustrations sont dessinées  d'une façon très jolie.
L'histoire est très amusante et agréable à lire

Mélodie